Concernant les parcs de loisirs:
Le chiffre d’affaires annuel de l’activité Parcs de loisirs s’établit à 279,0 M€, en progression de +20,6% à périmètre réel. L’activité des Parcs de loisirs de l’exercice a été marquée par des changements de périmètre importants (intégration du Futuroscope et cession du contrôle d’un groupe de 7 parcs de loisirs). A périmètre comparable, le chiffre d’affaires est ainsi quasi stable à -0,2%.
La fréquentation a progressé de + 0,9% sur l’ensemble de l’exercice. La dépense moyenne par visiteur telle qu’elle ressort de la comptabilité affiche une baisse de -1,1% par rapport à l’exercice précédent.
Cette évolution est imputable à une variation des produits d’échanges marchandises et à une baisse du chiffre d’affaires représentée par les billets échus non consommés. Si l’on extourne ces deux éléments peu représentatifs de la réalité la DPV est stable.
Après un premier semestre peu significatif, le troisième trimestre a été de très bonne facture : tous les parcs du Groupe, hors musée Grévin, ont contribué à l’augmentation du chiffre d’affaires de 8,6% à périmètre comparable (+3,6% à périmètre comparable sur les 9 premiers mois de l’exercice).
Le quatrième trimestre a été marqué par un tassement de l’activité plus prononcé pour les sites les plus dépendants du climat. Au global, le chiffre d’affaires des Parcs de loisirs baisse de 4% à périmètre comparable sur cette période.
Dans un contexte général difficile, le groupe a vu les premiers fruits de sa stratégie de déploiement de ses marques. Ainsi, la fréquentation des 4 parcs Walibi a bien résisté sur l’ensemble de l’exercice malgré les conditions météorologiques des mois de juillet et d’août. Elle est en hausse de près de 4,5% sur l’ensemble de l’exercice, soutenue par les premiers effets de la relance de la marque
Le groupe ajoute que les performances en deçà des attentes des parcs de loisirs en termes de chiffre d’affaires ne permettront pas d’absorber les charges liées à la relance de la marque Walibi et à certains projets de développement, qui porteront leurs fruits ultérieurement.
Les résultats opérationnels de l’activité Parcs de loisirs, dont l’évolution devrait être limitée à périmètre réel, seront ainsi négativement impactés, à périmètre comparable, par l’effet cumulé d’un moindre dynamisme de l’activité qu’attendu et de la prise en compte de ces coûts spécifiques.
Les résultats du Groupe enregistreront en revanche les premiers effets favorables de la montée en charge de l’activité de conseil et d’assistance sur les projets internationaux.